Catégorie : Actus Professionnelles
Au Journal Officiel deux arrêtés ont été publiés et concernent la modification des modalités de la prime d’engagement.
Une politique d’attractivité renforcée :
En complément de cette prime, le ministère de la Santé encourage les établissements à mettre en place des actions de valorisation des carrières hospitalières. Ces initiatives, combinées à des dispositifs tels que les primes d’engagement, visent à fidéliser les professionnels dans un contexte de tensions croissantes sur le recrutement médical.
Dans un premier temps, l’arrêté du 23 janvier 2024 permet aux spécialités confrontées à des difficultés de recrutement au sein des établissements publics de santé de bénéficier d’une prime d’engagement de carrière hospitalière. Elle s’adresse aux praticiens contractuels et aux assistants des hôpitaux, dont les diplômes d’études spécialisées sont :
- Anesthésie- réanimation
- Psychiatrie
- Radiologie
La liste de ces spécialités est fixée pour trois ans, révisable annuellement.
L’attribution de la prime est encadrée par plusieurs critères définis dans l’arrêté modifié du 14 mars 2017 :
1. Eligibilité :
- Les praticiens doivent exercer dans un établissement public de santé.
- Leur statut (praticien contractuel ou assistant des hôpitaux) et leur spécialité doivent répondre aux critères définis.
2. Montant de la prime :
- Le montant varie en fonction du temps de travail effectué. Les praticiens exerçant à temps partiel percevront une prime calculée au prorata de leurs obligations de service.
- Des précisions sont apportées quant aux modalités de calcul pour les contrats partagés entre plusieurs établissement.
3. Engagement requis :
- Les bénéficiaires de la prime s’engagent à poursuivre leur activité hospitalière pour une durée minimale. Cet engagement permet de garantir la stabilité des équipes dans les spécialités concernées.
- En cas de non-respect de cet engagement (démission avant la durée prévue, changement d’établissement hors critères éligibles, etc.), une partie ou la totalité de la prime devra être remboursée.
4. Modalités administratives :
- Les établissements doivent transmettre une demande d’attribution de la prime au directeur général de l’agence régionale de santé (ARS) compétente.
- Une validation administrative précède le versement de la prime, qui sera ensuite intégrée à la rémunération mensuelle des praticiens.
Catégorie : Actus Professionnelles
En 2024, suite à la réforme des retraites, l’APPA s’est associée à l’initiative du SPH et de plusieurs partenaires pour éditer un guide pratique et complet sur « la retraite du praticien hospitalier ».
Différentes générations se côtoient au sein de l’hôpital n’ayant pas les mêmes aspirations ou parcours d’exercice professionnel et de carrière. Ces générations se voient catégorisées en classes d’âge à qui sont attribuées des caractéristiques résultant des circonstances sociales et culturelles ayant marqué la première étape de leur vie. D’autres facteurs interviennent comme l’émergence de nouvelles tendances au sein de la société. Les expériences de vie influencent les comportements et les valeurs des générations. Céline Marty, professeure agrégée et chercheuse en philosophie du travail, s’interroge sur la centralité du travail dans nos vies et à rebours de cette réforme des retraites qui prévoit de travailler davantage, elle se penche sur les aspirations à « ralentir » exprimées par une partie de la jeunesse.
Que vous apparteniez à la génération des baby-boomers, des X,Y,Z ou même l’Alpha, cette réforme des retraites mise en œuvre le 1er septembre 2023 vous concerne tous. Elle a modifié l’âge de départ à la retraite des affiliés nés à compter du 1er septembre 1961 et la durée de cotisation nécessaire pour obtenir une pension à taux plein.
Le système de retraite est structuré autour de plusieurs composantes de régimes obligatoires visant à améliorer les droits :
- La retraite de base par répartition dans le cadre du régime général.
- La retraite complémentaire des salariés du secteur privé AGIRC et l’ARRCO, et pour les hospitaliers l’IRCANTEC (Institution de Retraite Complémentaire des Agents Non Titulaires de l’État et des Collectivités locales).
En plus de ces régimes obligatoires, une retraite dite « surcomplémentaire » permet à certains retraités de compléter leurs revenus au travers de dispositifs facultatifs proposés par certaines entreprises.
Pour les actifs libéraux
La retraite de base dépend de la Caisse nationale d’assurance vieillesse des professions libérales (CNAVPL). La retraite complémentaire des professions médicales est gérée par 5 sections professionnelles de la CNAVPL, organisées par métier. Les règles spécifiques de fonctionnement du régime complémentaire des médecins sont définies par la Caisse autonome de retraite des médecins français (CARMF). Il existe enfin des produits d’épargne retraite individuels comme le plan d’épargne retraite populaire (PERP), les dispositifs Madelin, etc. Ces dispositifs fonctionnent par capitalisation.
Comment sera calculée la retraite quand on a cotisé à plusieurs régimes de retraite ?
Si vous avez cotisé à plusieurs régimes de retraite au cours de votre vie professionnelle, vous serez pluri pensionné. Dans ce cas, toutes les caisses de retraite (de base et complémentaires) auxquelles vous avez cotisé vous verseront une pension dont le montant varie en fonction des modes de calcul fixés par chacune d’elles.
Le montant total de votre retraite sera déterminé en additionnant le montant de vos différentes pensions.
Dans votre compte retraite sur le site info-retraite, vous pouvez effectuer une estimation du montant de vos retraites:
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Le 23 octobre, deux décrets ont été publiés au Journal officiel. Ils s’inscrivent dans le cadre d’une loi de juillet 2023 visant à renforcer l’égalité professionnelle et l’accès des femmes à des postes de responsabilité.
Pour plus d’information, cliquez ici
À partir du 1er juin 2025, les établissements publics de santé, sociaux et médico-sociaux comptant plus de cinquante agents devront publier chaque année cinq indicateurs clés, permettant de mesurer les écarts de rémunération et de promotion.
Ces indicateurs incluent :
- L’écart global de rémunération entre femmes et hommes pour les fonctionnaires et agents contractuels.
- Les écarts de taux de promotion de corps et de grade entre les sexes.
- Le nombre d’agents du sexe sous-représenté parmi les mieux rémunérés.
Les résultats doivent être publiés sur les sites des établissements et des agences régionales de santé (ARS) d’ici le 30 septembre de chaque année. En cas de non-publication ou de résultats en dessous des attentes, des sanctions financières allant jusqu’à 45 000 euros peuvent être appliquées.
Le second décret précise les cibles à atteindre et la méthode de calcul des indicateurs, incluant des dispositions spécifiques pour l’outre-mer. Cette initiative vise à renforcer la transparence et à promouvoir l’égalité salariale dans la fonction publique hospitalière.
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Le droit au remord, désormais appelé droit au changement de subdivision permet à un interne, sous certaines conditions, de se réorienter vers une autre spécialité au sein de la même ville.
Bon à savoir
Le droit au remords ne peut être exercé qu’une seule fois et l’interne qui bénéficie du droit au remords perd son ancienneté dans la nouvelle spécialité.
Il est important de se renseigner auprès de l’administration de l’université et de la CAPA pour connaître les démarches précises à suivre pour demander le droit au remords.
Qu’est-ce que le droit au remord ?
Le droit au remord est une disposition spécifique dans le parcours de formation des étudiants en médecine du 3ème cycle, qui leur permet de modifier à une reprise seulement, le choix initial de leur spécialité.
Conditions pour bénéficier du droit au remord
- Être interne en médecine : ce droit n’est accessible qu’aux étudiants en deuxième cycle des études médicales, après avoir validé le premier semestre.
- Effectuer la demande dans les délais impartis : le droit au remords peut être exercé au plus tard lors du 4ème semestre de fonctions.
- Obtenir un rang de classement suffisant : l’interne doit avoir obtenu un rang de classement au moins égal à celui du dernier candidat de la discipline souhaitée lors des ECN (Épreuves Classantes Nationales)
- Respecter les règles de la subdivision : le changement de spécialité ne peut se faire qu’au sein de la même subdivision que celle où l’interne est affecté.
Procédure pour demander le droit au remord
- Consulter le doyen de la faculté de médecine de l’université où l’interne est inscrit.
- Remplir un dossier de demande et fournir les pièces justificatives nécessaires.
- Soumettre la demande à la commission d’attribution des postes d’internat (CAPA)
- La CAPA examine la demande et statue sur l’admission au droit au remords.
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Au sein du milieu hospitalier, les conflits interpersonnels sont fréquents et engendrent des situations douloureuses préjudiciables à la santé des personnels soignants et à la prise en charge des patients.
Les pouvoirs publics ont favorisé la mise en place de dispositifs de résolution amiable des conflits comme la médiation et la conciliation.
La mise en place d’un médiateur national et des médiateurs régionaux ou interrégionaux, instauré par le Décret n° 2019-897 du 28 août 2019 a constitué une importante avancée pour la résolution de conflits entre les personnels des établissements publics de santé, sociaux et médico-sociaux ou avec leur hiérarchie. La saisine de l’instance régionale ou inter-régionale ne peut toutefois s’opérer que si le différend n’a pu être résolu dans le cadre d’un dispositif local de conciliation.
C’est pourquoi le Ministère de la santé a lancé en 2021 une mission chargée d’effectuer des propositions destinées à permettre aux hôpitaux de structurer de tels dispositifs et de les faire fonctionner.
Cette mission a permis l’élaboration de la Note d’information DGOS/RH3/2022/87 du 29 mars 2022 relative à la mise en place de dispositifs de conciliation locale dans les établissements de la fonction publique hospitalière. Cette note a été complétée récemment par une Foire Aux Questions accessible en ligne sur le site du Ministère de la santé.
Les préconisations portent sur plusieurs points :
- La nécessité d’organiser un système de recueil des situations de souffrance au travail, dans lesquels les conflits interpersonnels ne sont qu’un des éléments ;
- la mise en place d’une structure locale de traitement de ces signalements ;
- La formation des acteurs de ces structures locales ;
- L’articulation avec les autres structures de gestion des conflits, dont la médiation régionale ;
- La formation de tous les agents hospitaliers au travail en équipe dès les études de santé, et de la gestion d’une équipe pour tous ceux qui accèdent à des responsabilités d’encadrement.
La mise en place de ces structures peut se faire dans le cadre d’un ou plusieurs établissements publics de santé et médico-sociaux en fonction des moyens disponibles.
La mise en œuvre d’une organisation de gestion des conflits nécessite un investissement important des établissements en terme de temps dédié, que ce soit pour la formation des acteurs ou pour son fonctionnement au quotidien. Mais cette mobilisation de moyens n’est pas sans retour d’investissement car la non – résolution de conflits est source de perte de productivité et de qualité des soins, et peut aussi contribuer à alimenter un absentéisme chronique.
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L’arrêté du 9 février 2024 simplifie le recrutement des stagiaires associés étrangers et décale le calendrier des affectations pour les praticiens à diplôme hors UE (Padhue) ayant réussi les épreuves de vérification des connaissances (EVC).
Ces modifications, temporaires et mises en place par la Direction Générale de l’Offre de Soins (DGOS) et les Agences Régionales de Santé (ARS), permettent aux praticiens non lauréats de devenir stagiaires associés sans attendre un an après une formation qualifiante en France, facilitant ainsi leur intégration au système de santé français.
Cette mesure est en vigueur du 14 février au 31 décembre 2024.
Concernant l’ajustement du calendrier des EVC : la période d’inscription et de simulation pour les lauréats de la liste principale et complémentaire est fixée du 21 au 27 mars, avec une affectation définitive prévue le 29 mars. Cet ajustement permet aux lauréats de la liste complémentaire de s’inscrire sans attendre la phase d’affectation des lauréats de la liste principale, offrant ainsi une flexibilité dans l’attribution des postes vacants.
Ces mesures visent à répondre aux préoccupations concernant l’avenir des praticiens étrangers en France et s’inscrivent dans le cadre de la loi Valletoux, qui prévoit des autorisations temporaires d’exercice
L’objectif est de maintenir les lauréats des EVC dans leurs fonctions actuelles tout en permettant aux non-lauréats de poursuivre leur activité professionnelle jusqu’à l’application de cette loi. Avec un taux d’admission de 34% pour les EVC 2023, y compris les lauréats de la liste complémentaire, et face à un nombre significatif de participants aux épreuves, l’enjeu est de répondre efficacement aux besoins du système de santé français tout en prenant en compte les préoccupations des praticiens étrangers.
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Un décret « relatif à l’indemnisation du travail de nuit dans la fonction publique hospitalière » et un arrêté modifiant « le montant de l’indemnité forfaitaire pour travail des dimanches et jours fériés » ont été publiés à la suite des annonces faites par le gouvernement.
Pour plus de détails, consultez l’article 13 de l’arrêté du 30 avril 2003 et l’arrêté du 22 décembre 2023 ou rendez-vous dans notre rubrique « Statuts ».
Depuis le 1er janvier 2024, le travail de nuit, des dimanches et jours fériés du personnel hospitalier non médical, ainsi que les indemnités de garde et le plafond de rémunération de l’intérim pour le personnel médical ont été revalorisés.
Voici le détail de ces mesures :
- Réforme de l’indemnisation du travail de nuit : apparition d’une indemnisation de 25 % du traitement indiciaire brut
- Revalorisation du montant de l’indemnité forfaitaire pour travail des dimanches et des jours fériés passe de 44,89 € à 60 €
- Augmentation de 50 % pour le personnel médical des indemnités de garde
- Réhausse du montant journalier du « plafond des dépenses engagées par un établissement public de santé au titre d’une mission de travail temporaire ». Le montant du plafond journalier pour une journée de 24h passe de 1 210,99 € à 1 410,69 €.
Montants des indemnités de gardes, selon l’arrêté du 22 décembre 2023
Pour les praticiens hospitaliers, les praticiens contractuels, les assistants des hôpitaux, les praticiens attachés et les praticiens adjoints contractuels
Les indemnités de sujétions :
- Nuit, dimanche ou jour férié : 422,03 €
- Demi-nuit, samedi après-midi : 211,01 €
Si l’établissement fait partie d’un groupement hospitalier de territoire :
- Une période : 335,60 €
- Une demi-période : 167,79 €
Temps de travail additionnel de jour (du lundi matin au samedi après-midi) :
- Une période : 337,61 €
- Une demi-période : 253,20 €
Temps de travail additionnel nuit/dimanche/jour férié :
- Une période : 503,87 €
- Une demi-période : 251,95 €
Pour les personnels enseignants et hospitaliers
Indemnité de garde pour travail effectué au titre de la permanence sur place au-delà des obligations de services :
- Demi-garde samedi après-midi : 253, 20
- Garde (nuit/ dimanche/ jour férié) : 755,81€
- Demi-garde (nuit/ dimanche/ jour férié) : 377,93 €
Pour les assistants associés, praticiens et attachés associés
Les indemnités de sujétions :
- Nuit, dimanche, jour férié : 346,71 €
- Demi-nuit, samedi après-midi : 173,36 €
Si l’établissement fait partie d’un groupement hospitalier de territoire :
- Une période : 335,60 €
- Une demi-période : 167,79 €
Temps de travail additionnel de jour (du lundi matin au samedi après-midi)
- Une période : 277,30 €
- Une demi-période : 138,65 €
Temps de travail additionnel nuit/dimanche/jour férié :
- Une période : 344,99 €
- Une demi-période : 172,94 €
Pour les praticiens associés
Les indemnités de sujétions :
- Une nuit, un dimanche et jour férié : 346,71 € ;
- Une demi-nuit, un samedi après-midi : 173,36 €.
Si l’établissement fait partie d’un groupement hospitalier de territoire :
- Une période : 277,30 €
- Une demi-période : 138,65€
Catégorie : Actus Professionnelles
Que vous débutiez ou non votre activité à l’hôpital, il est essentiel de bien comprendre les différents éléments et montants présents sur votre bulletin de paie. Pour aller plus loin, vous trouverez ci-dessous le détails des émoluments hospitaliers et revenus complémentaires propre à votre statut.
L’APPA met à votre disposition sa fiche incontournable pour décrypter votre bulletin de paie: pour y accéder, cliquez sur ce lien.
Et n’hésitez pas à la partager à vos collègues !
Les émoluments hospitaliers au 1er juillet 2023
Communs entre Internes et Docteur Junior
Les revenus complémentaires au 1er juillet 2023
Communs entre Internes et Docteur Junior
GARDES : Le service de garde normal comprend une garde de nuit par semaine et un dimanche ou jour férié par mois. La période de nuit peut être divisée en deux demi-gardes
ASTREINTES : Dans les centres hospitaliers régionaux faisant partie de centres hospitalo-universitaires, il peut être organisé un service d’astreintes auquel participent les internes affectés dans l’établissement. Comme en service normal de jour, l’interne en service d’astreintes doit pouvoir faire appel à un praticien senior à tout moment.
INDEMNITÉ COMPENSATRICE D’AVANTAGES EN NATURE : est versée en fonction des avantages en nature, logement et/ou nourriture, dont bénéficient l’interne dans son établissement d’affectation, une indemnité compensatrice lui est, ou non, versée. Les étudiants nourris et logés par leur établissement ne perçoivent pas d’indemnité.
SUPPLÉMENT FAMILIALE DE TRAITEMENT : il s’agit d’un complément de rémunération versé à tout agent public qui a au moins 1 enfant de moins de 20 ans à charge.
INDEMNITÉS POUR PARTICIPATION À DES ENSEIGNEMENTS, JURYS, CONCOURS : des indemnités pour participation, en dehors des obligations de service, à des enseignements et aux jurys de concours, à l’enseignement et à la formation des personnels des établissements hospitaliers peuvent être versées aux internes assurant, à titre d’occupation accessoire, pour le compte de l’administration, une activité d’enseignement ou le fonctionnement de jurys d’examens ou de concours.
INDEMNITÉ SPÉCIALE SELON LE DROM D’EXERCICE : une indemnité spéciale non soumise à cotisation au régime de retraite complémentaire est versée aux internes qui exercent leurs fonctions dans un lieu de stage agréé dans certaines collectivités ultramarines.
Relatifs aux Internes
INDEMNITÉ DE SUJÉTION : il s’agit d’une compensation financière liée aux contraintes subies et des risques encourus dans l’exercice des fonctions de l’interne. Le versement de cette indemnité prend fin à l’entame du 5ème semestre d’internat.
PRIME DE RESPONSABILITÉ : versée aux internes de médecine générale lorsqu’ils accomplissent un Stage Autonome en Soins Primaires Ambulatoires Supervisé (SASPAS) et aux internes de médecine, pharmacie et odontologie à partir de leur quatrième année d’internat.
Relatifs aux Docteurs Junior
PRIME D’AUTONOMIE SUPERVISÉE : versée mensuellement aux docteurs juniors. Si le docteur junior ne bénéficie pas dans l’établissement ou l’organisme d’affectation du logement, de la nourriture, du chauffage et de l’éclairage, il reçoit une indemnité représentative, selon le cas, de tout ou partie de ces avantages.