Catégorie : Vie de l’association
L’APPA a souhaité faire un retour en images sur l’année 2024 à travers cette vidéo. Une année riche en partages, confraternité et solidarité ; des valeurs que l’APPA compte perpétuer en 2025. Très belle année à tous !
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L’accompagnement, le soutien, la protection des adhérents représentent des valeurs fondamentales pour l’APPA qui se matérialisent notamment par son Fonds de solidarité.
Comment bénéficier du Fonds d’intervention ?
En 2025 et pour la 8ème année consécutive, l’APPA a renouvelé sa dotation au Fonds d’Intervention à hauteur de 75 000 € !
Pour en savoir plus, cliquez ici.
Quelques retours sur de nombreux témoignages d’adhérents touchés par la solidarité de l’APPA.
Une belle histoire de solidarité confraternelle au cœur des missions de notre association
L’accompagnement, le soutien, la protection représentent des valeurs fondamentales pour l’APPA.
C’est pour cela que depuis plus de 30 ans, l’association a créé un fonds solidaire pour accompagner et protéger les adhérents et leurs familles confrontés à des situations d’accident de la vie, de handicap ou de bouleversements familiaux difficiles à assumer financièrement.
Mais notre fonds d’intervention ne s’arrête pas là !
Les adhérents peuvent aussi le solliciter pour des frais de santé importants qui peuvent représenter une part non négligeable de leur budget et ce malgré l’intervention de la Sécurité sociale et de la complémentaire santé.
L’aide financière que peut apporter le fonds solidaire est totalement indépendante des contrats santé APPA auxquels vous adhérez. Ce soutien financier, dont le budget annuel est de 75 000 €, est pris sur les fonds propres de l’Association.
Quelques chiffres sur le Fonds d’intervention en 2023
Sur 10 ans, le Fonds d’Intervention
c’est en moyenne : 60 629 € par an pour 38 demandes
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Adhérent de l’APPA depuis quatre décennies, Dr Marc Bétrémieux, ancien psychiatre hospitalier, vient d’être élu à la Présidence de l’Association, à la tête d’un Conseil d’Administration renouvelé. Nous l’avons interrogé pour en savoir un peu plus sur son parcours et ses projets, entre les chantiers à poursuivre et de nouveaux défis à relever.
Pour revoir les extraits vidéos de l’interview, cliquez ici
« L’APPA, c’est une maison commune… »
Pouvez-vous nous raconter votre parcours ?
Je suis praticien hospitalier retraité, après avoir exercé comme pédopsychiatre à Hénin-Beaumont et Lens (62). Durant ma carrière, j’ai occupé différentes fonctions cliniques et plusieurs responsabilités à l’hôpital, comme chef de service, chef de pôle ou président de CME. A côté de mon activité de praticien, j’ai également eu un engagement très précoce et continu dans le syndicalisme médical, sans doute hérité de mon père, lui-même syndicaliste dans l’industrie. Concrètement, j’ai été trésorier puis président du Syndicat des Psychiatres des Hôpitaux (SPH), ce qui est très en phase avec mes nouvelles responsabilités au sein de l’APPA puisque le syndicat en est justement à l’origine. A ce titre, j’ai eu différentes responsabilités nationales, notamment au sein des intersyndicales de praticiens et dans les négociations avec le Ministère de la Santé. J’ai aussi participé à la création de APH (Action Praticiens Hôpital), qui a remporté les dernières élections.…
Depuis quand êtes vous engagé au sein de l’APPA ?
J’ai découvert l’APPA au milieu des années quatre vingt, peu de temps après sa création. A l’époque, j’étais interne et c’est mon chef de service qui m’avait sensibilisé sur l’importance d’avoir une prévoyance pour ne pas risquer de se retrouver sans revenus dans le cas d’un arrêt de travail prolongé. J’ai ainsi adhéré à cette jeune association qui faisait aussi écho à mes aspirations syndicales. Elle m’a accompagné tout au long de ma carrière et a couvert toute ma famille, ma compagne et mes quatre enfants.
Pour moi, l’APPA, c’est une « maison commune ». Dans la psychiatrie hospitalière, qui en est à l’origine, il y a le syndicat (SPH), la société savante (Société de l’information psychiatrique), la revue spécialisée (L’information psychiatrique) et cette maison commune, qui s’est ouverte progressivement aux autres spécialités. Son rôle est de regrouper les praticiens pour leur offrir une protection sociale adaptée à leurs statuts, tout en véhiculant une certaine forme de collégialité, c’est-à-dire une façon de penser ensemble et de s’engager collectivement autour d’un projet partagé. Quand j’ai pris ma retraite, je me suis engagé dans la gouvernance de l’APPA avant d’être élu, depuis quelques semaines, à sa présidence.
Comment envisagez-vous votre rôle de nouveau Président ?
Le premier objectif, qui s’inscrit pleinement dans la continuité et dans l’histoire de l’APPA, c’est de maintenir le niveau d’excellence, sur le plan de la protection sociale, que l’Association propose à travers ses contrats, en collaboration avec ses partenaires (Bessé, Generali). Cela implique de continuer à porter une attention très fine sur le contenu des contrats, tout en s’adaptant à l’évolution des pratiques et des métiers. Par exemple, on voit que la population médicale se féminise de plus en plus, notamment dans la psychiatrie (60 % de femmes). Il y a de nouvelles attentes par rapport à la maternité mais aussi sur des sujets liés aux revenus, aux gardes, aux arrêts, etc. Ces différentes évolutions sont suivies de façon très pointue au niveau de l’APPA, en proposant une réponse à la fois individualisée et toujours d’excellence pour l’ensemble du groupe.
« Un autre point important, toujours dans la continuité, c’est le maintien d’un esprit de collégialité entre les adhérents, combiné à la nécessité de s’ouvrir à toutes les spécialités et aux différents modes d’exercice. Depuis un moment, l’APPA propose des contrats dédiés aux libéraux et, au-delà de la diversité des choix de carrière, un projet associatif basé sur la solidarité et la confraternité, quels que soient sa spécialité ou son choix de carrière. »
Cette approche rejoint le troisième point qui concerne l’attention très importante, portée par l’Association, sur les conditions de travail et la propre santé des médecins. En tant que psychiatre et syndicaliste, c’est un enjeu et une préoccupation que j’ai vu grandir, de manière très sensible, dans les établissements de santé. Et aujourd’hui, à l’échelle de l’APPA, nous ne sommes pas un syndicat mais on reste très vigilant sur l’évolution de l’hôpital, la façon dont les services sont pilotés, afin que chaque praticien puisse y trouver sa place, ne pas être pris dans des conflits ou des tensions, en plus de la charge de travail et de la pression quotidienne. On a un rôle d’information auprès de nos adhérents et de leurs proches ; on a créé des outils en ce sens, comme notre plateforme « Coup de Blouse ».
Quels sont les prochains grands chantiers de l’Association ?
En plus des champs d’action que je viens de rappeler, l’APPA surveille de près le chantier de la protection sociale complémentaire obligatoire, qui va bientôt arriver en négociation dans la fonction publique hospitalière. Nous sommes très vigilants sur le sujet, car il risque d’aboutir à une couverture santé « bas de gamme ». Nous avons travaillé, dès 2021, avec les intersyndicales, pour étudier les questions que le projet de réforme allait engendrer, les éclairer à partir de notre expertise sur la protection sociale, anticiper les futures négociations avec le Ministère, etc.
Un autre grand chantier, interne à l’Association, concerne le renouvellement progressif des générations. On vient de renouveler notre conseil d’administration avec de nouveaux praticiens en activité et davantage de femmes, car il y avait un déséquilibre à ce niveau et il faudra encore aller plus loin dans les années à venir ! L’APPA doit également rajeunir son groupe d’adhérents, en accueillant davantage d’internes et, peut être un jour, des étudiants en médecine, afin de les sensibiliser au plus tôt sur nos sujets de prédilection (prévoyance, confraternité, bien être au travail). Notre spécificité, contrairement à d’autres assureurs à visée plus « commerciale », c’est de bien connaître l’hôpital, d’y être tous acteurs, participants, et de bien connaître, par définition, les problèmes, les préoccupations et les réponses à apporter aux questionnements récurrents : Comment gérer sa vie à l’hôpital? Comment se préserver par rapport aux risques psychosociaux ? Comment évoluer dans sa carrière, lors d’un changement d’échelon ou d’une évolution de son mode d’exercice, en conservant une protection santé de haut niveau ?
Pour conclure, avez-vous un message à faire passer aux adhérents ?
« Mon message principal, c’est d’abord de prendre soin de soi, de préserver sa santé et de pouvoir aussi compter sur l’hôpital pour cela, car il doit être une solution et non le problème ! »
A l’hôpital, on n’est pas tout seul, on n’est pas le super héros qui va résister à tout, il y a des équipes, des compétences, des ressources humaines et médicales, comme la médecine du travail, les psychologues, les directions des affaires médicales qui peuvent apporter, dans certaines situations, des réponses adaptées. En libéral, c’est peut-être un peu plus compliqué, mais l’APPA est justement là pour apporter cette dimension de collectif à travers sa structure, son projet associatif et ses outils comme « Coup de Blouse ». Nous sommes à la fois capables d’apporter des réponses très techniques liées à l’évolution des statuts et ses conséquences en matière de protection sociale, mais aussi un soutien quotidien, collégial et solidaire, pour la santé et le bien être des (futurs) praticiens.
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À partir du 1er janvier 2025, le calendrier des examens médicaux obligatoires des enfants de la naissance à 16 ans subira quelques modifications.
Bon à savoir
Les consultations sont remboursées à 100% par l’Assurance Maladie, sans avance de frais, sauf en cas de dépassement d’honoraires.
Actuellement, les enfants passent 20 examens médicaux. Mais, à partir de 2025, un examen prévu entre la 3e semaine et le 1er mois sera supprimé, et un nouvel examen sera ajouté entre 7 et 16 ans.
Les changements importants :
- Avant 3 ans : 13 examens au lieu de 14, avec des bilans à réaliser dans les 8 premiers jours, à 2 semaines, 2 mois, 3 mois et 4 mois.
- De 7 à 16 ans : 4 examens obligatoires, au lieu de 3. Ils auront lieu à 7 ans, entre 8 et 9 ans, entre 11 et 13 ans, et entre 15 et 16 ans.
Ces examens permettent de suivre la croissance, la psychomotricité, le développement psychoaffectif et les vaccinations des enfants. À partir de 2025, les professionnels devront également repérer les troubles psychiques et administrer des traitements préventifs si nécessaire.
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Dr Marc Bétrémieux, nouveau Président de l’APPA, nous présente les membres du nouveau Conseil d’Administration de l’APPA.
Une vision solidaire pour l’avenir
« J’ai le grand plaisir de vous présenter les membres du nouveau conseil d’administration de votre association et remercie chaleureusement tous les adhérents APPA pour leur soutien par leur vote.
Ces collègues se sont engagés pour faire vivre et évoluer l’association dans ses différentes dimensions de soutien, d’accompagnement et de protection sociale.
Sa force reste d’avoir été fondée par des praticiens pour des praticiens et surtout d’y réunir toutes les générations : internes, praticiens hospitaliers et libéraux, praticiens retraités.
Notre époque est traversée par plusieurs crises institutionnelles s’accompagnant de celles des exercices qu’ils soient hospitaliers ou libéraux.
L’association APPA apporte des réponses nouvelles et d’excellence aux besoins de prévention et de protections individuelles et collectives, amplifiés par ce contexte.
L’APPA, fondée sur des valeurs de solidarité, de confraternité, est l’association experte en matière de protection sociale des internes et des praticiens.
Elle s’est toujours mobilisée afin de soutenir chacun de ses adhérents au plus près de leur vie professionnelle et de la singularité de la vie personnelle et familiale.
La santé de chaque collègue et de ses proches est le cœur de chacune des décisions du Conseil d’Administration : mise en place de contrats santé, de contrats de prévoyance, abondement d’un fonds d’intervention de solidarité, rédaction et diffusion de lettres d’information, prévention avec la plateforme de ressources Coup de Blouse enrichie par de nombreux témoignages, mais aussi par l’organisation de symposiums dans les congrès scientifiques et webinaires que vous pouvez suivre sur notre nouveau site APPA…
La santé de chaque collègue et de ses proches est le cœur de chacune des décisions du Conseil d’Administration : mise en place de contrats santé, de contrats de prévoyance, abondement d’un fonds d’intervention de solidarité, rédaction et diffusion de lettres d’information, prévention avec la plateforme ressources Coup de Blouse…
La réflexion collective se poursuit par l’évolution des contrats que le Conseil d’Administration négocie au fil de l’eau avec notre assureur Generali et ce de la manière la plus optimale grâce aux liens de confiance construits de longue date avec notre courtier Bessé.
Enfin ce nouveau Conseil d’Administration a souhaité construire ses décisions et sa stratégie sur l’expertise d‘une dizaine de commissions pilotées par les administrateurs volontaires.
A titre d’exemples, certains collègues assurent des travaux de suivi de tous les statuts hospitaliers afin de maintenir une visibilité claire sur les évolutions, d’autres anticipent les enjeux des projets de réforme de la protection sociale complémentaire.
Une Commission est centrée sur les Internes et les débuts de carrières et une autre est consacrée aux Praticiens en Exercice libéral …
Le Conseil d’Administration poursuit sa politique volontaire de liens de partenariat avec d’autres associations d’internes, de spécialités ainsi qu’avec des syndicats médicaux qui partagent ses valeurs.
La période des trois années à venir sera essentielle pour l’APPA dans son positionnement concernant la protection sociale spécifique de tous ses adhérents.
L’APPA s’est toujours montrée proactive dans ce champ et continuera à y défendre, en tant que collectif, l’accompagnement individualisé de chacun de ses membres à la hauteur de son projet associatif.
Je renouvelle au nom de ce nouveau Conseil d’Administration nos remerciements pour votre confiance dans nos actions.
En vous souhaitant ainsi qu’à vos proches d’excellentes et riches fêtes de fin d’année. »
Dr Marc Bétrémieux, Président APPA
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Face aux conséquences dramatiques du cyclone Chido à Mayotte, l’APPA met en place des initiatives de solidarité pour soutenir ses adhérents dans cette épreuve. Explications avec son Président.
À quoi sert le Fonds d’Intervention ?
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Solidarité envers les soignants de Mayotte suite au passage du cyclone Chido
« Chers internes, praticiens hospitaliers et libéraux, retraités et adhérents de l’APPA,
Nous avons suivi avec une grande sollicitude pour tous ses habitants, et une immense pensée pour nos collègues, le passage du cyclone Chido sur l’archipel de Mayotte dont nous connaissons maintenant les effets matériels et humains catastrophiques.
Le Conseil d’Administration, qui est en lien permanent avec ses collègues adhérents exerçant à Mayotte, a décidé de les soutenir par plusieurs initiatives.
La solidarité est bien inscrite au cœur de la philosophie de l’association et nous militons pour l’amélioration des conditions sociales, de la qualité de la vie et la défense des intérêts matériels ou moraux de nos membres.
Certains de nos membres ont eu l’occasion de se rendre par le passé sur l’archipel et d’y rencontrer des collègues forts de leur engagement pour la santé d’une population aux besoins immenses.
Nous avions à l’époque rencontré les attentes de collègues très concernés et espérant des réponses claires de l’état face à une suractivité galopante avec une augmentation de demandes entraînant une incapacité à réaliser le travail programmé, les interventions se faisant régulièrement dans l’urgence pour des pathologies souvent lourdes et avancées ainsi que la surchauffe de l’activité de la maternité.
La visite de l’ensemble du CHM nous avait permis de voir un beau plateau technique au niveau des urgences et la réanimation, qui poursuivait son adaptation.
Nous avions surtout été sensibles au sentiment d’isolement et de mal être, en lien avec la difficulté de répondre à la hauteur de la réalité des besoins.
La catastrophe de 2024 et surtout ses suites nous obligent à une solidarité sans faille pour tous nos collègues afin de les aider à poursuivre leur mission !
Les membres du Conseil d’Administration adressent leur profonde sympathie à tous les collègues soignants de Mayotte et ont décidé d’ouvrir les pages de la lettre à leurs témoignages.
Il est envisagé la création d’un fonds de solidarité exceptionnel Mayotte 2024 afin de soutenir l’engagement professionnel exceptionnel des équipes soignantes. »
Dr Marc Bétrémieux, Président de l’APPA
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L’APPA et le Congrès Français de Psychiatrie ont organisé une webinaire sur un sujet essentiel pour les acteurs du milieu hospitalier : les conflits à l’hôpital et les risques psychosociaux.
L’APPA était également présente au congrès du Congrès Français de Psychiatrie, qui s’est tenu en novembre dernier à Rennes. Voici quelques photos prises à cette occasion !
Coup de Blouse
Créée à l’initiative de l’APPA, Coup de Blouse propose des témoignages, des outils et des contacts utiles pour aider les internes et les praticiens, ainsi que leurs proches, à prévenir une situation à risque de souffrance au travail. Plusieurs ressources concernent les conflits à l’hôpital et les moyens existants pour les résoudre.
Pour en savoir plus, cliquez ici.
Revivez notre webinaire sur les conflits à l’hôpital et les risques psychosociaux !
Organisé par l’APPA en partenariat avec le Congrès Français de Psychiatrie (CFP), cet événement a réuni des experts du domaine pour aborder un sujet crucial pour les acteurs du milieu hospitalier. Animé par les Dr. Gérard Shadili, psychiatre addictologue, Dr. Jacques Trévidic, pharmacien et le Dr. Bétrémieux, pédopsychiatre, ce webinaire a exploré des solutions pour gérer les conflits à l’hôpital et les risques psychosociaux associés.
Vous pouvez désormais découvrir ou redécouvrir le replay de ce webinaire, avec des présentations sur la gestion des conflits, la plateforme « Coup de blouse » et une session de questions/ réponses pour approfondir le sujet.
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Dans le cadre de notre engagement à soutenir les associations d’internes, l’APPA est heureuse de vous présenter son partenariat avec Interview de l’Association des Jeunes Anesthésistes Réanimateurs d’Angers (AJAR ANGERS). Pour mieux comprendre leur mission, leurs projets, et l’impact de ce partenariat pour la communauté neurologique, nous avons interviewé Morgan Galteau, interne en anesthésie et réanimation au CHU d’Angers et président de l’AJAR Angers.
Les Partenaires de l’APPA
L’APPA soutient de nombreuses associations d’internes. Pour en savoir plus, cliquez ici
Pouvez-vous vous présenter ?
Bonjour, je m’appelle Morgan Galteau. J’ai 26 ans et je viens de Nantes. Actuellement, je suis interne en anesthésie et réanimation au CHU d’Angers. Je suis également président de l’Association des Jeunes Anesthésistes Réanimateurs d’Angers (AJAR Angers). J’aime bien pouvoir faire vivre la vie étudiante de ma ville. Je suis passionné par mon métier mais j’arrive à prendre du temps pour moi et pour l’association. Dans mon temps libre, je joue souvent aux échecs et j’adore le cinéma.
Pouvez-vous nous présenter brièvement l’Association des Jeunes Anesthésistes-Réanimateurs du CHU d’Angers (AJAR Angers) ? Quels sont ses principaux objectifs et valeurs ?
L’AJAR Angers est une association qui fait suite à l’ancienne association des anesthésistes-réanimateurs d’Angers. Elle a été créée le 26 avril 2022.
Les principaux objectifs de l’association sont de faire vivre le département d’anesthésie réanimation d’Angers, que ce soit par des soirées régulières, des afterblocs le lundi soir ou divers événements.
Nous participons également à la formation continue des internes avec la mise en commun des ressources (charte des internes, base d’articles, topos du lundi…), l’organisation de topos/discussions avec des chefs, l’accueil d’intervenants en association avec l’AJAR France et la diffusion d’informations sur les congrès nationaux.
Enfin, nous accueillons les nouveaux internes avec une soirée d’accueil et un welcome pack.
Nous sommes très sensibles à la cause environnementale qui est prise en compte dans chacune de nos actions.
Pourquoi avez-vous décidé de rejoindre le bureau de l’AJAR Angers ?
J’ai décidé de rejoindre le bureau de l’AJAR Angers avant tout pour faire vivre une ambiance conviviale dans le département d’anesthésie réanimation. Il me semble important de donner les clés à chacun pour mieux se sentir dans son cursus médical.
Combien de membres compte actuellement l’AJAR Angers, et pourriez-vous nous donner une répartition approximative par types de statuts (internes, externes, praticiens hospitaliers, etc.)?
L’AJAR Angers compte 7 membres, tous internes en anesthésie réanimation, allant du 4ème au 8ème semestre. Nous avons pour projet d’accueillir des praticiens hospitaliers à terme.
Quels sont les événements à venir auxquels l’AJAR Angers participe ou organise-t-elle ?
Nous projetons d’organiser la soirée d’accueil des nouveaux internes. En parallèle de cela, nous mettons en place des soirées entre anesthésistes, urgentistes et chirurgiens, avec qui nous avons l’habitude de travailler.
Pourriez-vous nous en dire plus sur le partenariat entre l’Association des Praticiens Hospitaliers et Assimilés (APPA) et l’AJAR Angers? Comment ce partenariat bénéficie-t-il à vos membres et à la communauté médicale en général ?
Ce partenariat est avant tout pour nous une façon de promouvoir des services, que ce soit des informations via vos guides, ou des contrats à des tarifs assez avantageux, qui nous semblent honnêtes et justes pour nos adhérents.
Nous aimons beaucoup aussi le site coupdeblouse.org qui permet une réelle prise de recul sur notre métier et sa condition qui peut parfois être difficile…
Quelle est la présence de l’AJAR Angers sur les réseaux sociaux ? Comment utilisez-vous ces plateformes pour interagir avec vos membres et promouvoir vos activités ?
Nous utilisons les réseaux sociaux pour promouvoir nos partenaires et nos événements, notamment sur Instagram, Facebook et bientôt sur un site internet qui est actuellement en développement.
Quels sont les principaux enjeux auxquels l’AJAR Angers est confrontée, notamment en lien avec son partenariat avec l’APPA ? Comment travaillez-vous ensemble pour relever ces défis et renforcer la profession médicale?
L’AJAR Angers existe avant tout pour le bien être de ses adhérents. Il est nécessaire que les internes soient bien informés des enjeux de la responsabilité médicale et des assurances. Cela inclut la compréhension des couvertures offertes par l’APPA et la gestion des risques.
Les internes peuvent parfois se sentir isolés face à des situations complexes. Nous essayons de fournir un soutien en matière de conseils juridiques et de gestion des sinistres en partenariat avec l’APPA.
Organiser des événements où nous faisons une promotion de l’APPA permet de discuter de leurs préoccupations sur la formation médicale.
« Les internes peuvent parfois se sentir isolés face à des situations complexes. Nous essayons de fournir un soutien en matière de conseils juridiques et de gestion des sinistres. »
Comment les membres de l’AJAR Angers peuvent-ils s’impliquer davantage dans les activités de l’association et contribuer à ses objectifs ?
Nous organisons régulièrement des réunions entre tous les membres du bureau pour discuter de la ligne directrice de l’association. Cela permet à tout le monde de s’investir à son échelle dans l’association.
Y a-t-il des projets ou des initiatives spécifiques que vous aimeriez partager avec notre public pour illustrer l’engagement de l’AJAR Angers dans le domaine de l’anesthésie réanimation et de la formation médicale ?
L’initiative la plus importante pour nous est les « topos de chefs », qui permettent de discuter dans un cadre convivial de situations médicales ou de connaissances théoriques. Promouvoir un concept comme celui-là s’inscrit dans une démarche de formation mais également de bien-être pour nos adhérents.
Comment les personnes intéressées peuvent-elles rejoindre ou soutenir l’AJAR Angers? Quels sont les avantages de devenir membre de votre association?
Les avantages sont l’accès à tous nos événements et tous les avantages de nos partenaires. Nous recrutons nos membres sur les réseaux sociaux et lors de nos événements.
Enfin, quel message souhaiteriez-vous transmettre aux futurs professionnels de la santé et à ceux qui pourraient être intéressés par votre association et ses activités ?
Notre association a vocation à créer une atmosphère agréable pour exercer notre futur métier, tout en mettant l’accent sur des choses qui nous semblent essentielles pour notre formation.
Il est nécessaire de poursuivre notre activité pour assurer la qualité de vie des internes d’anesthésie réanimation d’Angers.
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Hugo Terpereau, interne en psychiatrIe, Président de l’Association Lilloise de l’Internat et du Post-internat en Psychiatrie (Ali2P), répond à nos questions…
Pouvez-vous vous présenter ?
Je m’appelle Hugo Terpereau, j’ai 26 ans et je suis actuellement interne en 4ème semestre de psychiatrie.
Cette année, j’ai le plaisir de tenir le rôle de président et VP Partenariat de l’Association Lilloise de l’Internat et du Post-internat en Psychiatrie (Ali2P) pour l’année 2023-2024.
Pouvez-vous nous présenter brièvement l’Association ? Quels sont ses principaux objectifs et valeurs ?
Le but de l’association est de favoriser la cohésion, la formation et la représentation des internes mais aussi des PH en psychiatrie à Lille. Pour ce faire, l’association propose des événements à la fois festifs mais aussi pédagogiques, par exemple en traitant de thématiques touchant la psychiatrie au bar avec des intervenants de façon officieuse (nos “café psy”). Elle met en lien les internes avec les différents dispositifs de formations (FST, options, DU) et les représente lors de commissions officielles.
Pourquoi avez-vous décidé de rejoindre le bureau de l’ALI2P ?
L’associatif m’a toujours intéressé, dès l’externat (années d’études avant de devenir interne), j’ai tenu plusieurs rôles à la CEMR (Corporation des Etudiants en Médecine de Reims) et j’y ai passé de très bons moments, noué de très belles amitiés, que je garde encore plusieurs années après. J’aime toucher à tout et m’investir dans une association permet de canaliser cette énergie. Quand est venu le moment de choisir ma ville d’internat, une amie a pu me promouvoir l’Ali2P avec ces multiples projets, je ne pouvais pas refuser.
Combien de membres compte actuellement l’ALI2P, et pourriez-vous nous donner une répartition approximative par types de statuts (internes, externes, praticiens hospitaliers, etc.) ?
L’association compte 15 membres, répartis en différents pôles, le pôle Evénementiel & Culture, tête de flèche de l’association, le pôle chargé de la Communication et des infographies qui nous offre une belle visibilité cette année, le pôle chargé de la Représentation dont la mission est de protéger les internes et de faire valoir leurs voix et enfin le pôle Post-internat qui fait le lien avec les plus anciennes promotions, voire les PH. L’association est majoritairement composée d’internes, mais le Pôle Post-internat est composé d’une jeune cheffe.
Quels sont les événements à venir auxquels l’ANJMIR participe ou qu’elle organise ?
L’Ali2P organise des évènements mensuels : des Afterworks, des Café psy (débat informel autour d’une thématique relevant de la psychiatrie au bar), des Ciné psy (débat informel autour d’un film évoquant une question, une pathologie psychiatrique). En Mars nous avons pu organiser un Afterwork, et un Café psy autour de l’éco-anxiété, en juin nous avons traité des violences conjugales…. D’autres thèmes très intéressants sont à venir pour les mois prochains : transidentité, soins palliatifs en psychiatrie…
Pourriez-vous nous en dire plus sur le partenariat entre l’Association des Praticiens Hospitaliers et Assimilés (APPA) et l’ALI2P ? Comment ce partenariat bénéficie-t-il à vos membres et à la communauté médicale en général ?
Le partenariat avec l’APPA est récent, mais l’Ali2P souhaitait pouvoir faciliter l’accès à la Prévoyance et à la Santé de ses adhérents. Il est naturel dans ce cas de se tourner vers l’APPA qui semble par son fonctionnement orienté pour les praticiens par les praticiens adapté à nos problématiques tout le long de notre pratique. Le partenariat nous permet d’offrir à nos adhérents des offres de Prévention et de Protection, ainsi qu’une sensibilisation aux risques psychosociaux grâce à sa plateforme “Coup de Blouse” déjà bien fournie en contenu intéressant.
Quelle est la présence de l’ALI2P sur les réseaux sociaux ? Comment utilisez-vous ces plateformes pour interagir avec vos membres et promouvoir vos activités ?
L’Ali2P est, grâce à notre équipe de Com’ de choc bien présente depuis ce début de mandat, que ce soit sur Facebook via la page de l’association ou notre page Instagram (@ali2psy). Ces plateformes nous sont utiles pour relayer les informations importantes, que ce soit dans le cadre de la formation des internes, dans le cadre des stages ou, bien sûr, de nos événements.
Quels sont les principaux enjeux auxquels l’ALI2P est confrontée, notamment en lien avec son partenariat avec l’APPA ? Comment travaillez-vous ensemble pour relever ces défis et renforcer la profession médicale ?
Malheureusement, la santé des internes qu’elle soit physique ou psychique n’est pas infaillible. Accidents domestiques et professionnels, burn-out, anxiété… Je pense qu’on a une culture “médicale” qui peut parfois être problématique, notamment en ce sens que nous sommes conditionnés à écouter l’autre avant de nous écouter nous-mêmes. Or, pour être un soignant prêt à aider, il ne faut pas que nous souffrions nous-mêmes. Il s’agit globalement de la notion de risques psychosociaux et de Prévoyance qui fait qu’un tel partenariat a un sens.
« Je pense qu’on a une culture médicale » qui peut parfois être problématique, notamment en ce sens que nous sommes conditionnés à écouter l’autre avant de nous écouter nous-mêmes. Or, pour être un soignant prêt à aider, il ne faut pas que nous souffrions nous-mêmes… »
Comment les membres de l’ALI2P peuvent-ils s’impliquer davantage dans les activités de l’association et contribuer à ses objectifs ?
Je pense que ses membres se donnent déjà à fond pour proposer à nos adhérents des services toujours plus variés et qualitatifs. Je serais content que l’on continue sur cette lancée toute l’année 😊.
Y a-t-il des projets ou des initiatives spécifiques que vous aimeriez partager avec notre public pour illustrer l’engagement de l’ALI2P?
Un des projets relativement récents de l’Ali2P est de développer un Podcast sur la chaîne YouTube de l’association @ALI2P : Psy’nterview. Ce podcast a pour but de promouvoir dans un premier temps la formation de l’internat en psychiatrie, exemple la pédopsychiatrie, l’addictologie, le master, et dans un second temps nous aimerions ouvrir nos sujets autour de la pratique de la psychiatrie, pourquoi pas interviewer des intervenants de tous les jours comme les travailleurs sociaux, des infirmiers spécialisés, etc… ou encore discuter de sujets comme la transculturalité qui gagnent en importance dans notre pratique. N’hésitez d’ailleurs pas à passer sur YouTube !
Comment les personnes intéressées peuvent-elles rejoindre ou soutenir l’ALI2P ? Quels sont les avantages de devenir membre de votre association ?
Tout simplement en participant à nos événements, le but de l’association est de créer de l’échange, on est toujours content de pouvoir partager quelque chose, que ce soit professionnel ou pas ! Ensuite, notre VP Podcast ainsi que l’animatrice de celui-ci seraient ravies de vous voir écouter le fruit de leur travail, n’hésitez pas à laisser un commentaire et à leur dire que vous appréciez leur investissement.
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Dr Bertrand Lavoisy, psychiatre hospitalier à l’EPSM Lille-Métropole, à Armentières (59).
Pour en savoir sur les correspondants locaux de l’APPA, découvrez notre page dédiée
Praticien en psychiatrie au sein de l’EPSM Lille-Métropole, à Armentières (59), Dr Bertrand Lavoisy a toujours eu la fibre associative et syndicale au service de ses confrères. Correspondant local de l’APPA dans les Hauts-de-France, il nous raconte son rôle dans l’information et l’accompagnement des (futurs) praticiens…
Pouvez-vous nous raconter votre parcours?
J’ai quelques heures de vol derrière moi, si j’ose dire, puisque j’ai connu le début du concours de praticien hospitalier en 1985. Je suis donc psychiatre hospitalier depuis l’origine du statut. Aujourd’hui, j’arrive en fin de contrat de praticien titulaire puisque je vais embrayer sur un statut de praticien contractuel, en cumul emploi retraite.
Vous avez toujours eu engagement associatif important en parallèle de votre activité médicale…
Oui, toujours, notamment pour aider les futurs confères à la préparation du concours. Il faut se remettre dans le contexte de l’époque : le statut de praticien était très demandé ! A l’échelle nationale, toutes spécialités confondues, il y avait jusqu’à 600 candidats chaque année pour une centaine de postes. Aujourd’hui, c’est l’inverse : il n’y a plus de concours et on a de plus en plus de mal à orienter les nouvelles générations vers la psychiatrie à l’hôpital qui n’est pas dans une situation très enviable.
Bref, en effet, je me suis toujours engagé au service de ma discipline et des nouvelles générations de médecins. J’ai été Président des internes puis, une fois en poste, j’ai monté, avec d’autres praticiens, les conférences de la Madeleine destinées à la préparation du concours dans la région. Le Nord-Pas-de-Calais est connu pour sa fibre associative mais c’est un territoire qui a toujours manqué de psychiatres (encore plus que d’autres)…
Je me suis également engagé au sein du Syndicat des Psychiatres des Hôpitaux, depuis une vingtaine d’années, dont je suis encore membre du bureau, occupant les fonctions de secrétaire et de conseiller à la communication.
Pourquoi avez-vous adhéré à l’APPA?
Ça fait aussi un moment, je me souviens y avoir été sensibilisé de façon indirecte, à un moment où on avait des collègues qui avaient des soucis de santé, mais avec un très faible niveau d’information sur les risques et les éventuelles pertes de revenus liées au statut. J’ai commencé à m’y intéresser sérieusement et j’ai réalisé que personne n’était vraiment au courant. C’était un peu chacun de son côté, chacun dans son coin… Il y avait peu d’intérêt sur ces sujets sauf quand il y avait un problème, avec le risque immense de s’y pencher bien trop tard !
C’est dans cette même optique que vous êtes devenu « correspondant local » il y a trois ans ?
Oui, en réalité, je le suis, depuis longtemps, de manière informelle. À chaque fois que les internes arrivent à Armentières, je les contacte pour leur parler de leur poste et de tout ce qui accompagne leur cursus, notamment sur le plan de la couverture santé. Deux fois par an, je prenais contact avec l’APPA pour obtenir des goodies et des supports d’information. Et lorsque Dr Marc Bétrémieux, que je connais depuis longtemps, a pris des fonctions au sein de l’Association, je me suis engagé un peu plus « formellement ».
Quel est votre rôle au quotidien?
Pour ainsi dire, c’est toujours le même : informer, orienter les internes et les médecins de l’hôpital, répondre à leurs questions et préoccupations sur la santé et sur la prévoyance. S’il y a un souci médical, quelles sont les conséquences en termes de salaire ? Comment sont-ils couverts ? Que propose l’APPA, concrètement, notamment par rapport aux concurrents? De nombreux internes prennent leur première mutuelle par l’intermédiaire du bouche à oreille, mais je leur dis toujours : quand vous voulez acheter une voiture, vous ne dites pas « on m’a parlé de cette voiture et donc je vais l’acheter ! » Vous allez voir le modèle, vous demandez combien elle consomme et comment elle marche… C’est un peu pareil pour la couverture santé : il faut se renseigner, comprendre, décrypter, comparer les offres et les garanties…
« Quand vous voulez acheter une voiture, vous ne dites pas « on m’a parlé de cette voiture et donc je vais l’acheter ! » Vous allez voir le modèle, vous demandez combien elle consomme et comment elle marche… C’est un peu pareil pour la couverture santé : il faut se renseigner, comprendre, décrypter, comparer les offres et les garanties…«
Est-ce que les questions et les préoccupations évoluent?
Il y a toujours les questionnements sur les statuts, le travail et, de plus en plus, sur l’environnement de travail, c’est-à-dire tout ce qui permet de l’exercer en bonne santé et le plus longtemps possible. Les nouvelles générations sont beaucoup plus soucieuses de leur bien-être, de leur qualité de vie au-delà du travail, et c’est tant mieux ! Le revers de la médaille, c’est qu’on a aussi perdu une sorte de tolérance sur les contraintes de l’activité à l’hôpital, où il y a forcément des gardes et des rythmes différents que dans le privé…
Le sujet des retraites est-il saillant, même pour les jeunes générations?
Oui, cela fait partie des questions qui reviennent régulièrement. Les jeunes ont besoin de savoir là où ils vont, car c’est aussi lié aux évolutions potentielles de statuts, à l’exercice à l’hôpital ou en libéral, etc. On peut trouver beaucoup d’information par soi-même, sur Internet, mais pour moi c’est la même chose que pour le reste : l’humain reste fondamental pour apporter une information qualifiée, adaptée aux besoins et aux questions de chacun. Sur le sujet des retraites, par exemple, le SPH a édité un guide pratique qui est très demandé car il est vraiment pertinent pour répondre aux questions très concrètes des praticiens.
Pour finir, que diriez-vous à un adhérent de l’APPA qui serait intéressé par la mission de correspondant local?
Je dirais tout simplement que c’est une démarche qui doit s’inscrire dans un souci de l’autre, dans le partage de préoccupations communes sur l’exercice du travail, le bien être, la qualité de vie au sens large. C’est le sens même de la notion de mutuelle, comme un bien partagé au service de chacun. Quand on voit les préoccupations des nouvelles générations sur le travail, toutes activités confondues, je trouve que ce rôle et ces questions sont très actuelles…
« C’est une démarche qui doit s’inscrire dans un souci de l’autre, dans le partage de préoccupations communes sur l’exercice du travail, le bien être, la qualité de vie au sens large. C’est le sens même de la notion de mutuelle, comme un bien partagé au service de chacun. »